A l'heure à laquelle j'écris ce petit message, il y a deux cinquecentophiles qui reviennent d'avoir fait leurs courses en Allemagne. Qu'est ce qu'ils étaient motivés avant de partir, Nicolas était comme à son habitude,monté sur des ressorts tandis que Claude, plus posé, réexaminait sa liste pour voir s'il n'avait rien oublié. J'espère qu'ils auront trouvé leur bonheur car ce taper Frankfurt pour quelques pièces de 500, il faut vraiment être passionné. Ce n'est plus du sandg qui coule dans leurs veines mais de l'huile moteur. Heureusement ,ou dommage, qu'ils ne possédent pas de camion, sinon ils seront capable de ramener le magazin à Herchies.